Pour exercer ce métier, l’imprimeur 3D doit être familier avec les différentes technologies d’impression 3D. Il doit être capable de créer ou de modifier des modèles 3D à l’aide de logiciels de modélisation (tels que Blender, SolidWorks ou Fusion 360) ou de comprendre les propriétés des différents matériaux utilisés pour l’impression 3D (tels que le PLA, l’ABS ou le nylon).

Le technicien robotique et automatisme, appelé aussi roboticien-automaticien, conçoit, installe, programme, entretient et répare des systèmes robotisés et des équipements automatisés. Il collabore avec les ingénieurs pour développer des solutions adaptées aux besoins spécifiques de l’entreprise ou du client. 

Le concepteur détermine l’architecture générale du support numérique, classe et hiérarchise les informations, élabore un ensemble cohérent, clair et logique, avec des liens adaptés. Textes, musiques, vidéos, animations, images et photos… Tout le contenu est intégré de façon à rendre le produit final agréable à découvrir et facile d’utilisation.

Le premier réflexe du soudeur consiste à prendre connaissance des éléments sur lesquels il va intervenir en étudiant à la loupe les plans de construction, le dossier de maintenance et les consignes d’hygiène et de sécurité propres à l’intervention. Les chaussures de sécurité et le casque antibruit font ainsi le plus souvent partie de sa panoplie. Sur un chantier, le rôle du soudeur est soit de monter à partir de plans les tronçons de caisson ou de tuyauteries préfabriqués en ateliers, soit de réaliser des interventions de modification ou d’entretien sur les réseaux de tuyauteries existants.

Le qualiticien étudie tous les secteurs de l’entreprise : de la maîtrise des fournisseurs et sous-traitants, en passant par la fabrication, le conditionnement, et l’accueil. Il surveille la mise en place de procédures définissant les rôles de chacun pour obtenir un haut niveau de qualité… Pour cela, il rencontre de nombreux collaborateurs de l’entreprise, analyse les méthodes de travail, compile les données comptables…

Les neurones toujours en éveil, cet ingénieur peut, selon son secteur d’activité, être s’occuper de la conception, de la réalisation et la programmation de produits assistés par ordinateur, de l’automatisation et du contrôle des processus industriels, de l’électronique embarquée dans une voiture ou un avion, ou encore de la gestion et la maintenance des réseaux industriels et réseaux informatiques.

Appareils électroménagers, radars, téléphones portables, systèmes de sécurité… le technicien est en mesure d’assurer la maintenance de tous ces produits. Lorsqu’il le faut, il diagnostique la panne de machines de l’industrie (machines outils, robots…) ou de systèmes (chaînes de production) et intervient ensuite sur les parties mécaniques, électriques, pneumatiques et hydrauliques.

Ce ne sont pas la taille ni les volumes des ordinateurs qui définissent leur appartenance ou non à la micro-informatique mais la taille et la capacité des processeurs de fonctionnement. 

L’agent de maintenance veille d’abord à l’entretien et la surveillance des équipements : que ce soit électrique, mécanique ou hydraulique, l’agent doit vérifier l’état du matériel de l’entreprise. 

L’opérateur de fabrication agit directement sur le produit à l’aide de différents ustensiles et machines (appareil de déshydratation, broyeur, four, pétrin, mélangeurs, etc.). Le pétrissage, la cuisson, la mise en barquette, le conditionnement…

Le responsable d’atelier de production organise et planifie toutes les activités afin d’atteindre les objectifs en termes de délais, de coûts, mais aussi de quantité et de qualité. Il fait rimer qualité et la rentabilité. Il est amené à mettre en place des actions afin de faire évoluer les points à améliorer en cas de dysfonctionnement. Pour cela, il analyse le fonctionnement de son atelier.

Le conducteur de ligne de fabrication ou de conditionnement coordonne, régule et pilote l’activité de production en respectant les enjeux, principalement ceux liés à l’hygiène et à l’environnement : les règles sont très strictes dans l’agroalimentaire. Il approvisionne le site en matières premières et emballages, s’assure du bon fonctionnement des équipements de production de la ligne de fabrication dont il est en charge et s’engage à faire respecter les normes de productivité. 

A partir d’un plan d’essais ou d’un cahier des charges élaboré par les ingénieurs, le technicien effectue toute sortes de mesures, quelles soient statiques, thermiques, de résistance… Chaque test est réalisé grâce à des outils informatiques ou électroniques très perfectionnés.

Le monteur-câbleur suit les prescriptions techniques sur schémas ou cahiers des charges pour exécuter les travaux de raccordement, ce qui implique pour lui de savoir lire l’anglais technique. Il effectue les opérations de pose, connecte l’ensemble des systèmes électriques mais aussi assure les essais, les réglages, la mise au point du matériel. Non seulement le monteur-câbleur gère les phases de tests, mais en outre, il repère les éléments défectueux et en assure la maintenance.

Le technicien de maintenance dans l’aéronautique assure au quotidien le contrôle, la maintenance préventive et curative sur les aéronefs. Il est sans cesse à l’affût du moindre problème afin d’agir rapidement et éviter toute catastrophe aérienne. Il détermine alors les opérations d’entretien et de maintenance à réaliser en cas de détection de pannes, propose des solutions pour optimiser la sécurité et la performance des moteurs, des structures des aéronefs, des équipements électroniques et informatiques embarqués.

De la préparation des surfaces à l’application des couches de finition, ce professionnel de la peinture sait tout faire : décaper, poncer, dégraisser, protéger… Il peut également établir des diagnostics de déformations des véhicules accidentés.

Le technicien robotique et automatisme, appelé aussi roboticien-automaticien, conçoit, installe, programme, entretient et répare des systèmes robotisés et des équipements automatisés. Il collabore avec les ingénieurs pour développer des solutions adaptées aux besoins spécifiques de l’entreprise ou du client. 

Le technicien de maintenance de batteries de véhicules électriques est un professionnel qualifié chargé de veiller au bon fonctionnement et à la longévité des batteries électriques. Il intervient sur les systèmes de stockage d’énergie ainsi que les systèmes de charge. Il effectue des diagnostics précis, répare ou remplace les éléments défectueux et conseille sur les bonnes pratiques de maintenance pour optimiser la performance et l’autonomie des batteries.